L’expertise du mobilier a pour objet une étude chiffrée pour lancer sa restauration. Pour ce faire le mobilier a été descendue de leur emplacement, ce qui a nécessité l’installation d’échafaudages.
Le tableau « Testament de Saint-Yves », de 386 cm x 269, date de 1803 et porte la signature de Mme de Parthenay. Inscrit à l’inventaire des Monuments historiques, il fait l’objet actuellement d’une demande de classement.
Le tableau « Testament de Saint-Yves », de 386 cm x 269, date de 1803 et porte la signature de Mme de Parthenay. Inscrit à l’inventaire des Monuments historiques, il fait l’objet actuellement d’une demande de classement.
La Cène, un grand tableau (279 cm x 246) de 1808 d’Olivier de Champard. « Il est très abîmé mais il est de belle facture et mérite une restauration. Son original se trouve au Louvre », confie la restauratrice en toile peinte.
Dans une autre partie de l’église, l’historienne d’art Cécile Gilbert-Byl et l’ébéniste Alexandre Contopanoste, du même atelier, se penchent sur les stalles, statuaires et autre mobilier. En particulier « Notre-Dame de Coatcolvezou » que l’on a descendu pour la circonstance de son piédestal. La statue en bois polychrome du XIVe est également classée. L’ étude inclut également un « ensemble de crucifixion du XVIe ou XVe siècle », actuellement au-dessus du porche nord de l’église ainsi qu’une « Notre-Dame de Kermartin du XVe ou XVIe siècle ».
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